Une journée avec Youenn, apprenti aide-soignant

Publié le 02 août 2023, mis à jour le 15 juillet 2024

Temps de lecture : 2 minutes

Je m'appelle Youenn, j’ai 20 ans et je suis aide-soignant en apprentissage au CFA des métiers du soin Korian. Dans le cadre de mon travail, je suis au contact de nos aînés pour prendre soin d’eux et les aider dans leur quotidien.

établissement

La journée commence par les transmissions : l'occasion de me mettre à jour et de savoir ce qui s'est passé au sein de la résidence durant la nuit.

AS

C’est l’heure d’aller voir les résidents que j’ai en charge. Je fais le tour de chacun pour leur dire bonjour et voir s’ils ont besoin d’aide pour le petit-déjeuner.

aide

Il est l'heure de la toilette ! J'assiste chaque résident dans sa toilette et pour l'habillage. Je commence par Mme Dupont, je sais qu'elle aime se lever tôt le matin pour se faire coquette.

blanchisserie

Tous les 2 jours, je fais la tournée de la résidence pour ramasser le linge sale, ça aide les résidents et leur permet d’avoir toujours du linge propre !

repas

Fin de matinée, on se retrouve pour le déjeuner avec mes collègues. L'occasion de se détendre autour d'un repas : on mange, on papote, on rigole !

micro

L’animation du jour c’est karaoké. J’accompagne M. et Mme Hautbois ainsi que tous les autres. L’occasion de partager un moment avec les résidents.

admin

Avant de partir, j'écris mes transmissions sur l'ordinateur pour informer mes collègues des évènements de la journée. Cela leur permet de prendre leur service avec toutes les informations !

metier korian

Je quitte le travail après avoir parlé musique avec Monsieur Dubois. C’est pratique, il me reste du temps dans l’après-midi, j’en profite pour pratiquer ma passion et faire de l’athlétisme au Centre Fédéral Handisport à Talence !

Le + du métier d'aide-soignant chez Korian

Quand on est aide-soignant, on est en contact direct avec les résidents et ils savent qu’on est là pour les aider. On noue des liens de proximité avec certains d’entre eux et on apprend à les connaitre. Par exemple, lorsque j’aide M. Flambert, il me raconte ses anecdotes d’ancien restaurateur et, au déjeuner, il lui arrive de me dire “c’est pas assez cuit, fiston”, ça me fait sourire. 

Enfin, ce qui me rend fier dans mes missions d’aide-soignant, c’est de me dire que je me rends utile auprès des résidents.